Environnement

Broyeur à végétaux

La Ville et Grenoble-Alpes Métropole mettent gratuitement à votre disposition deux broyeurs pour vous aider à réduire vos déchets verts :

  • un broyeur à moteur essence sur remorque pour vos gros chantiers de taille (diamètre maximum des branches : 10 cm)
  • un broyeur électrique transportable dans un coffre de voiture pour les travaux moins exigeants (diamètre maximum des branches : 3,5 cm).

Pourquoi broyer ses déchets végétaux ?
Vos déchets végétaux constituent une vraie ressource. En ajoutant du broyat à votre compost, vous aérez votre jardin, régulez son humidité et améliorez sa qualité. Le paillage permet de limiter le désherbage, l'arrosage mais aussi d'améliorer, de nourrir et de protéger le sol. 

Pour réserver votre broyeur, cliquez ici.

Le broyeur est partagé avec les autres communes du secteur Nord-Ouest. 

Compostage

Composter, c’est recycler les déchets verts du jardin en les amassant en tas pour qu’ils se décomposent. Ce processus permet leur transformation en un produit comparable au terreau : le compost. Composter permet de réduire les déchets, de les recycler et de vous éviter de vous rendre en déchetterie.

Consultez le site de la Métropole pour des infos pratiques sur le compostage.

Parcs et jardins

Parcs et jardins

La commune a la compétence de l’entretien et de l’embellissement des espaces verts d’agrément, hors arbres bordant les voiries et sur les places publiques.

La ville compte deux parcs : le parc Gontier et le parc des Moaïs, trois squares : rue Pierre Sémard, place Charles de Gaulle et place du Village, et le jardin de Pique-Pierre rue Conrad Killian. Elle entretient et aménage également les pieds d’arbres, les plates-bandes plantées le long des rues et les jardinières.

Chaque année un programme d’embellissement permet de renouveler et de concevoir de nouveaux aménagements paysagers avec des végétaux plus adaptés à la sécheresse et une autre approche de leur entretien.

Depuis 2015, la Ville applique une démarche Zéro phyto sur l’ensemble de son territoire, y compris dans ses deux cimetières. Elle remplace des revêtements de sols peu adaptés tel le stabilisé par des surfaces en terre pierre engazonné, plus perméables, vertes et s’entretenant avec une simple tonte.

Jardins familiaux

Les jardins partagés sont des lieux de vie, d’échanges, de travail de la terre, mais aussi des endroits de respiration dans l’espace urbain. La commune souhaite en créer de nouveaux, en lien avec les habitants. Fidèle à l’engagement d’associer les Saint-Martiniers aux décisions d’aménagement, l’équipe municipale a décidé mettre en place une commission extra-municipale sur ce sujet. Elle sera composée de 8 habitants issus de différents quartiers et d’élus de la commune. 

Un appel à volontaires est donc lancé. Pour vous inscrire, remplissez le formulaire ci-dessous. Ensemble, les membres de cette commission identifieront de nouveaux espaces d’implantations. Les services de la commune vérifieront ensuite le respect des règles d’urbanisme et des contraintes naturelles avant que les élus du conseil municipal se prononcent sur les propositions des habitants.

La Ville a aménagé et mis à disposition des habitants deux sites de jardins familiaux sur son territoire :

  • les jardins de Pique-Pierre, situés rue Conrad Killian et gérés par l’association "Pique Sol" que vous pouvez contacter par courriel à l’adresse
  • les jardins de Champeyrard, situés dans le parc de Champeyrard et gérés par l’association "Les Tournesols" que vous pouvez contacter par courriel à l’adresse

Le bailleur ICF met également à disposition des habitants de ses locataires des rues Pierre Sémard et Augustin Blanchet des jardins familiaux.

JARDINAGE

Tous les travaux de bricolage ou de jardinage causant une gêne sonore (tondeuse à gazon, tronçonneuse, motoculteur...) ne peuvent être effectués que durant certaines plages horaires : les jours ouvrables de 8 h à 12 h et de 14 h à 19 h 30, les samedis de 9 h à 12 h et de 15 h à 19 h, les dimanches et jours fériés de 10 h à 12 h.

Inscrivez-vous pour faire partie de la commission jardins partagés

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Abeilles

Les abeilles ont une extrême importance pour l’environnement grâce à leur travail de pollinisation.

Aussi, si vous découvrez un essaim d’abeilles dans votre propriété, n’essayez pas de le détruire et prenez contact soit avec le Syndicat apicole dauphinois (SAD), soit l’Abeille Dauphinoise. Vous trouverez beaucoup d’informations pratiques sur le site internet de ces deux associations qui vous fourniront des listes d’apiculteurs qui pourront venir récupérer l’essaim.

La commune dispose d’un rucher familial implanté à Ripaillère à proximité du merlon de protection contre les chutes de blocs. Si vous souhaitez installer une à deux ruches au maximum, veuillez prendre contact avec les services techniques de la commune par téléphone au 04 76 85 14 50 ou par courriel à l’adresse

La déclaration de ruches est une obligation annuelle pour tout détenteur de colonies d’abeilles, dès la première ruche détenue. Cette déclaration doit être faite entre le 1er septembre et le 31 décembre de l’année en cours.

Elle est importante pour :

  • La gestion sanitaire des colonies d’abeilles,
  • La connaissance de l’évolution du cheptel apicole,
  • La mobilisation d’aides européennes pour la filière apicole française.

Vous pouvez obtenir les éléments pour la déclaration sous le lien suivant.

Insectes nuisibles

Moustiques

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Sur la Région Auvergne-Rhône-Alpes, il existe 5 espèces autochtones de moustiques qui peuvent piquer les personnes, mais celle qui pose plus de problèmes actuellement est le moustique tigre.

Cette espèce invasive originaire de l‘Asie du Sud-Est est assez virulente et peut être le vecteur de certaines maladies lors de ses piqures (le zyka, la dengue et le chikungunya).

Afin de limiter la prolifération du moustique tigre, il est extrêmement important que chacun adopte les bons gestes, lesquels concernent surtout le contrôle de tout point d’eau stagnante (soucoupes de pots de fleurs, réservoirs d’eau, pieds de parasol, gouttières et grilles d’évacuation d’eaux pluviales…).

La surveillance du moustique tigre est gérée dans notre région par l’EID Rhône-Alpes et la Ville est entrée dans ce dispositif en 2019.

Sur le lien suivant, vous pouvez trouver des renseignements au sujet de la lutte contre les moustiques tigres et faire des signalements de sa présence.

 

Guêpes 

Les guêpes sont des insectes hyménoptères, avec un abdomen aux rayures jaunes et noires, peu de poils et quelques taches en fonction des espèces. Leur abdomen a un rétrécissement avant le thorax, ce qui permet de les distinguer des abeilles.

Même si c’est un insecte utile en tant que prédateur d’autres insectes nuisibles comme les moustiques, il peut aussi être dangereux en cas de piqûre avec son dard venimeux. Leur nid peut aussi être dérangeant s’il se situe au niveau des locaux utilisés par les personnes (bâtiments, jardins…).

En cas de découverte d’un nid de guêpes il est fortement conseillé de passer par des professionnels pour le supprimer. Les pompiers n’interviennent plus pour les nids de guêpes et frelons.

 

Frelons

Le frelon asiatique a démarré sa colonisation en France depuis 2004 et occupe actuellement la majeure partie des départements français.

Cet insecte provoque des nuisances importantes dans les zones où il s’installe et porte atteinte à l’équilibre environnemental. C’est en effet un grand prédateur de plusieurs espèces dont les abeilles. Il est capable de détruire une ruche entière en peu de temps.

Il est parfois confondu avec le frelon européen. Vous trouverez en cliquant ici les renseignements permettant la distinction entre les deux frelons et notamment comment signaler à un organisme de la Région la présence de frelons asiatiques, voire les consignes pour faire intervenir des professionnels afin d’éliminer un nid.

En cas de suspicion d’un nid de frelon asiatique, il ne faut en aucun cas essayer de détruire le nid seul, même s’il est de petite taille. Pour raisons de sécurité, le frelon asiatique étant très agressif, vous ne devez pas vous approcher à moins de 10 mètres du nid.

 

Termites

Les termites sont des insectes xylophages, qui détruisent le bois, notamment les bois de structure des bâtiments.

Un arrêté préfectoral a été pris en octobre 2002 car certaines communes iséroises sont contaminées par les termites ou susceptibles de l’être. Saint-Martin-le-Vinoux est concerné par cet arrêté dont les conséquences sont :

  • en cas de vente de tout ou partie d’un immeuble bâti, un état du bâtiment relatif à la présence de termites est joint au dossier de diagnostic technique à la vente ;
  • en cas de construction ou d’aménagement neuf, des mesures relatives à la protection contre les termites s’appliquent.

Pour plus d’informations, vous pouvez télécharger l’arrêté depuis le site suivant.

 

Pyrale du buis

La pyrale du buis est une espèce invasive qui est arrivée accidentellement en Europe au début des années 2000 via l’importation de plantes issues de l’Asie Orientale. Elle a provoqué des dégâts considérables sur les peuplements de buis de nos montagnes, entraînant le dépérissement de milliers de sujets.

Il est indispensable de détecter le plus tôt possible une éventuelle infestation. Dans une zone sensible, vous devez inspecter vos buis au moins une fois par semaine. Afin d’être efficace contre une colonie de pyrale, il est conseillé de combiner plusieurs moyens : la surveillance avec la mise en place de pièges à phéromone pour capturer les papillons mâles ce qui limite les attaques, puis l’utilisation d’un agent de lutte biologique : le Bacillus  thuringiensis dès l’apparition des premières chenilles. Cet agent est une bactérie qui vit naturellement dans le sol et qui est utilisé pour réprimer les populations de divers insectes ravageurs forestiers et agricoles. La chenille est infectée lorsqu'elle dévore les parties de la plante arrosée par la bactérie qui l’empêche de s’alimenter, entraînant sa mort en quelques jours.

Le fait de nettoyer les alentours des buis et de les tailler permet aussi d’aider à contrôler la population de pyrale.

 

Chenilles processionnaires

La chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa) est la larve d’un papillon de nuit. Cet insecte se nourrit des aiguilles de pin et de cèdres provocant un affaiblissement de l’arbre concerné et le laissant plus vulnérable à l’impact d’autres éventuels ravageurs, voire entraînant sa mort sur un sujet jeune ou déjà affaibli.

Ce ravageur représente aussi un problème de santé publique. En effet, les poils microscopiques contenus dans les poches dorsales des chenilles et qui peuvent être éjectés dans l’air, sont extrêmement urticants. Ils peuvent entraîner des problèmes d’irritations, de réactions dermiques, oculaires, respiratoires, … chez l’humain et affecter sérieusement les animaux domestiques et le bétail. Il convient de ne pas les éliminer sans s’être bien protégé et d’être vigilant aux endroits où elles ont circulé.

L’éradication de ce ravageur est impossible. La lutte consiste donc à une gestion des populations par différents moyens de lutte (prophylaxie, piégeage, lutte mécanique, lutte biologique). Parmi les mesures préventives, l’implantation de nichoirs à mésanges est recommandée car ces dernières sont un bon prédateur des chenilles. Il est possible également d’utiliser des pièges pour capturer les chenilles lors de leur descente de l’arbre ou d’utiliser une phéromone de synthèse pour capturer les papillons mâles. La lutte mécanique consiste en l’échenillage (coupage et brûlage des branches porteuses de nids). Enfin la lutte biologique consiste en l’utilisation, au stade larvaire des lépidoptères à l’automne, d’un insecticide à base de Bacillus thuringiensis.

En cas de présence de nids de chenilles processionnaires, il est conseillé de faire intervenir soit l’Office National des Forêts (prestation payante), soit une entreprise spécialisée. Le traitement sera adapté en fonction du stade d’évolution des insectes.

Plante invasives, l'ambroisie

Il s’agit d’une plante invasive originaire de l’Amérique du Nord, qui colonise divers types de sol comme les sols nus, agricoles, issues d’un remaniement de chantier, les délaissés et bords des voies.

Cette plante porte atteinte à la santé publique par son caractère hautement allergisant provenant de son pollen.

L’arrêté préfectoral du 30 juillet 2019 fixe les conditions de lutte obligatoire contre la présence et les effets de l’ambroisie, ainsi que le plan d’actions départemental.

Vous pouvez avoir des renseignements sur l’ambroisie et signaler sa présence sur le site de la préfecture.

Vigilance Grippe aviaire

De nombreux cas de grippe aviaire hautement pathogène H5N8 ont été détectés en Europe depuis le 23 octobre avec notamment des foyers aux Pays-Bas, en Allemagne et au Royaume-Uni.

Face à cette situation, le Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation Julien Denormandie a décidé de faire passer de « modéré » à « élevé » le niveau de risque d’introduction du virus influenza aviaire par l’avifaune en France dans les départements traversés par les couloirs de migration de ces oiseaux sauvages.

L'isère est concernée comme tous les départements rhônalpins.
A compter du 6 novembre, les mesures de prévention suivantes sont rendues obligatoires en Isère :
• claustration des volailles ou protection de celles-ci par un filet avec réduction des parcours extérieurs ;
• interdiction des rassemblements d'oiseaux (exemples : concours, foires, expositions avicoles) ;
• interdiction de faire participer des oiseaux originaires d'Isère à des rassemblements organisés dans le reste du territoire national ;
• interdiction des transports et des lâchers de gibiers à plumes ;
• interdiction d'utilisation des appelants ;
• surveillance quotidienne de la santé des oiseaux dans les élevages commerciaux ;
• interdiction des compétitions de pigeons voyageurs ;
• vaccination obligatoire dans les zoos pour les oiseaux ne pouvant être confinés ou protégés sous filet.

À ce jour, la France est indemne d’influenza aviaire. La consommation des viandes de volailles, de foie gras et des œufs ne présente aucun risque pour l’homme.
L’influenza aviaire hautement pathogène est une maladie animale infectieuse, virale, très contagieuse qui affecte les oiseaux.
Il est rappelé qu'un propriétaire d'oiseaux qui constaterait une mortalité anormale de ses animaux est tenu d'alerter sans délai son vétérinaire.
La DDPP de l’Isère, Service santé et protection animales et environnement, est à la disposition des éleveurs et des détenteurs d'oiseaux pour tout renseignement complémentaire ().

Pour plus d'informations, consultez le résumé des mesures à prendre.

Les propriétaires de volailles sont tenus de déclarer leur élevage en mairie. Pour télécharger le CERFA, cliquez ici. Pour faire votre déclaration en ligne, cliquez ici.